« Après ma note approuvée par le gouvernement et des avis émis par quatre conseils d’experts, dont le conseil bruxellois du bien-être animal, je suis confortée dans l’idée qu’il faut tendre vers une diminution progressive du nombre d’expérimentations animales. C’est d’ailleurs l’un de nos engagements importants sur cette législature. La Région bruxelloise joue véritablement un rôle moteur en la matière », explique la Secrétaire d’État bruxelloise en charge du Bien-être animal Bianca Debaets.
Pour la recherche appliquée (analyse du développement de certaines maladies), qui représente environ 11% des tests, il a été déterminé qu’une réduction de 20% du nombre d’expérimentations animales doit être atteinte. En ce qui concerne les tests de sécurité et de formation (16% du total des tests effectués), ils ne seront plus autorisés dès le 1er janvier 2025, sauf si aucune alternative n’existe et que la recherche en question s’avère absolument nécessaire. Pour ces exceptions, un accord du gouvernement bruxellois sera, au cas par cas, également nécessaire.